CHAMPEL Thibault

Thibault Champel est né le 25 avril 1995 dans une famille de cavaliers. Il confiera son début de carrière lors de l’interview  As Jeune CCE de 2013 :

« J’ai la chance d’avoir une famille de cavaliers, mon père a toujours été mon coach. D’ailleurs il a arrêté la compétition pour s’occuper un maximum de moi. Ma mère fait aussi du concours, de ce fait j’ai toujours monté. Ma première ponette s’appelait Caline, puis j’ai monté différents chevaux jusqu’à Othentic de Moussy (produit de notre élevage) et San Joseph du Paon qui ont été « les éléments déclencheurs ». San Joseph m’a permis d’acquérir un maximum d’expérience jusqu’au niveau 1* et amateur éilte et avec Othentic j’ai obtenu une médaille de bronze au championnat de France minime. Puis mon père a décidé d’arrêter le haut niveau pour se consacrer à ma carrière sportive. De ce fait, monsieur Philippe Lopez Coronado m’a confié Pitt L’indécis et Querubin Del Duero avec lequel j’ai disputé les championnats d’europe cette année. L’année dernière j’ai eu la chance d’avoir Kenavo de l’île, propriété de madame Sandrine Flatrès, avec lequel j’ai pu décrocher une médaille d’argent au championnats amateur élite. »

Sous l’œil attentif de son père et de l’encadrement du staff fédéral lors de ses stages à Saumur, Thibault Champel poursuit sa route vers le haut niveau. Il rêve comme tous les cavaliers d’être un jour sélectionné pour les JO mais il a les pieds sur terre et espère plus tard reprendre la suite de son père, développer une écurie de propriétaire.

Ses journées sont bien remplies : Il monte ses chevaux de compétition la journée, et le soir il rejoint le centre équestre de son père, monte les chevaux de clients et enseigne jusqu’à 21h, ce qui lui permet d’avoir un salaire.

Pour le futur il décrit dans l’Eperon de septembre 2020 :

« Mon rôle de jeune, c’est de prendre du métier sur des 4*S et d’acquérir de la technique et de l’expérience pour être prêt dans le quart de siècle à venir. On rêve tous de Paris 2024 mais on ne sait pas de quoi l’avenir est fait. Pourquoi pas courir en Coupe des nations si le staff fédéral pense que c’est une bonne idée ? Il faut rester bien lucide, bien concentré et continuer à travailler. »

Son écurie : École d’Équitation de Peillonnex (78125).

Manège, carrières, parcours en terrains variés.

Activités : compétitions, valorisation, élevage, enseignement et coaching.

Performances les plus marquantes